Sa mère l’attente

Jour 5:
Après un déjeuner rempli de jus de carottes, nous nous sommes préparés pour affronter cette dure journée.
À 9h ,notre convoi spécial à fait comme chaque jours, 40 minutes de bus pour se rendre pour les femmes au centre d’accueil pour réfugiés et pour les hommes au centre d’OM Grèce pour des travaux pratiques. Arrivé au centre nous avons reçu l’ordre de poncer la barrière du balcon pour pouvoir la repeindre mais tout ça avec du papier de verre venu tout droit de notre pays natal. Après plusieurs heures de dur labeur le travail à porté ses fruits. Selon un commentaire d’un des responsable sur place ; nous avons fait du bon travail et Monsieur était très reconnaissant que ça ne soit pas à lui de le faire. Au centre des réfugiés les staffs sont bien occupées à avertir les femmes dans le besoin et distribuer un peu de fraîcheur ( de la glace).Une personne à conclu ce moment là par un message parfois incompréhensible.
Retour à notre domicile où un agréable dîner nous attendait fait par notre chère cuisinière. La suite du programme était composée de distribution de flyers ( un peu témoin de Jéhovah à notre goût) et un rendez-vous prévu à 16h30. 17h30 , toujours pas de nouvelles …après un téléphone fait à notre responsable , il nous annonce qu’il arrive à 18h. Nous avons découvert que le quart d’heure de politesse suisse n’est pas le même que le grec. La distribution des flyers c’est faite sans trop de problèmes à part une petite chute de gaël durant la distribution. Manque de bol notre cher Esteban à tout de même réussi à se faire caquer dessus par un des 2-3 pigeons passant par là.
Nous soupçonnons Tobias , notre pigeon domestique d’avoir fait ses besoins où il ne fallait pas. Alors que ces parents avait lâchement abandonnés Jonas , celui-ci se mit à crier jusqu’à ce que son cher tonton et sa chère tata aillent pitié de lui et lui donne un petit coup de main pour rejoindre , le monde du sommeil.
Pour conclure , une petite glace , récompense cette belle journée qui nous permet de dormir le ventre plus que plein.
Florence et Gaël